
Le printemps jette son voile parfumé
Sur le monde des hommes reclus
Dans les appartements les corps
Se pressent aux fenêtres
Dans les foyers confinés
Certains comprennent enfin
Tandis que d’autres
Brûlent d’une colère noire
Dans les maisons les enfants
Découvrent que les adultes
Ne savent rien