
Sous nos yeux le monde bascule
Les frontières se dressent
Les libertés s’estompent
Les peurs antiques prennent corps
Sur les visages aimés
Dans nos chairs abîmées
Sous nos yeux le monde bascule
Les frontières se dressent
Les libertés s’estompent
Les peurs antiques prennent corps
Sur les visages aimés
Dans nos chairs abîmées